L'Histoire-géographie au lycée Saint-Exupéry de Brazzaville

L'Histoire-géographie au lycée Saint-Exupéry de Brazzaville

Le ciné-club du lycée


Katanga Business

Katanga Business

« Du cœur des ténèbres au cœur de la mondialisation »

Thierry Michel  2009

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Mercredi 27 janvier 2016

14h

Salle de permanence

 

Activités: cinemaKatanga-Business.pdf


12/01/2016
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La chambre des officiers

Commémoration du centenaire de la Grande Guerre : les blessés de la face

La chambre des officiers

de François Dupeyron

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Projection  mercredi 30 septembre à 14h00 en salle de permanence

Public : 3ème, Seconde, 1ère et Tale

 

Programme de 3ème

"La première Guerre mondiale : vers une guerre totale »

Programme de 1ère S et ES

« La 1ère Guerre mondiale, expérience combattante dans une guerre totale »

 

 


26/09/2015
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Le cauchemar de Darwin (3 décembre)

Ciné-club n°4                                                      Saint-Exupéry

Le cauchemar de Darwin

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Film, nominé aux Oscars en février 2006, César du meilleur   premier film en mars 2006.

Les paradoxes de la   mondialisation à travers l'exemple du commerce de la perche du Nil autour du   lac Victoria.

L'ombre d'un avion se détache sur le lac Victoria, immense   étendue d'eau bordée par la Tanzanie, l'Ouganda et le Kenya. Le gros   Iliouchine russe vole vers l'aéroport de Mwanza, sur la rive tanzanienne. Il   vient charger une cargaison de filets de perche du Nil à destination des pays   industrialisés. Introduit dans le lac Victoria pendant les années 1950, ce   poisson carnivore, qui peut atteindre deux mètres de long, a depuis lors   éliminé la plupart des autres espèces. Et il est devenu une production phare   de la Tanzanie, qui en exporte cinq cents tonnes par jour. Son commerce a   transformé Mwanza, qui compte aujourd'hui huit cent mille habitants. Le   documentaire nous fait rencontrer quelques-uns d'entre eux : pêcheurs dont   les prises sont de plus en plus maigres, patrons des usines de   conditionnement, prostituées qui se vendent aux pilotes des avions, enfants   des rues   qui se battent pour une poignée de riz...

 

« En un mot, le film de l'Autrichien Hubert Sauper montre avec les armes du cinéma (autrement dit par comparaison d'images et confrontation de plans) cent fois plus et cent fois mieux que ce que produirait n'importe quelle rhétorique militante »(le Monde)

« A travers le scandale de la perche du Nil, un documentaire effarant sur les rapports Nord-Sud. Le Cauchemar de Darwin est un superbe documentaire aux allures de polar » (Télérama)

« Passionnant ! » (Le Figaroscope)

Mercredi  3 décembre 2014 à 15 h

Public : Seconde, Première et Terminale

 

Programme de Terminale:  La mondialisation en fonctionnement

- Un produit mondialisé (étude de cas).

- Processus et acteurs de la mondialisation.

- Processus, acteurs, débats

- Mobilités, flux et réseaux.

Les territoires dans la mondialisation : des territoires inégalement intégrés à la mondialisation

 

Programme de Seconde : Sociétés et développement durable. Les enjeux du développement (« Du développement au développement durable »), « Nourrir les hommes

 

 

 Le travail sur le film

cinemaLe-cauchemar-de-Darwin.doc


16/11/2014
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Les sentiers de la gloire (12 novembre)

 

 

             

   
   

Ciné-club Histoire pour toutes les  classes de 3ème, 1ère et de Tale  mercredi  12 novembre à 15h en salle de permanence

   
   

Programme : La Première Guerre mondiale : l'expérience combattante dans une guerre totale

 

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Les extraits ci-dessous correspondent aux critiques parues dans la presse à la première présentation du film avant son retrait de l'affiche, puis lors de sa véritable sortie en France en 1975)

L’Express
« Mon but en faisant ce film était de faire un film anti-guerre (...). Je dois avouer une certaine surprise devant la sévérité dont on fait preuve dans votre pays à l’égard du film. Je n’ai que le respect le plus profond pour la France de toutes les façons imaginables, et pourtant, je ne peux être d’accord avec la suppression totale d’un film pour des raisons politiques. Je ne connais pas une autre grande puissance occidentale qui, à l’heure actuelle, empêcherait la sortie d’un film de ce côté-ci du rideau de fer pour des considérations politiques. L’érotisme et la brutalité sont les seuls problèmes de censure dont on entende parler, et cela peut toujours s’arranger avec des coupures de-ci delà. Peut-être que ma conception de la liberté politique est un peu naïve, mais je pense qu’elle doit inclure une expression absolument libre des arts ».
« Avec ses grands morceaux de cinéma – travellings à l’infini dans les tranchées, cour martiale dans un château baroque – le film est superbe. Il n’a perdu ni sa force d’impact ni son ironie ».Gilles Jacob, 24/03/1975

Le Figaro
« Il faut être aveugle pour ne pas voir que ce film outré, d’un sentimentalisme facile, bien plus qu’un film contre la guerre (et qui n’est pas contre la guerre ?!), est un film contre la France. Et contre son armée. Si j’en crois bon nombre de mes confrères, il vient à son heure ! »Michel Mohrt, 29/03/1975

France Soir
« Le remarquable dans ce film, c’est qu’il réussit à défendre une thèse, à être un film à message, tout en restant un spectacle passionnant de bout en bout. Stanley Kubrick présente ses personnages, raconte son anecdote, montre les combats avec une précision, une éloquence, une intelligence parfaites. Ce film contre la guerre est un grand film de guerre, un grand film tout court ».

L’Humanité
« Stanley Kubrick n’a pas trente ans. Son film, en dehors même des situations exposées plus haut, est un véritable coup de poing qu’on reçoit en pleine figure. Jamais artiste n’eut autant d’audace, cinématographiquement parlant. Son film est traité en images-choc, mi-tragédie humaine, mi-actualités reconstituées ».Jacques Deltour, 19/03/1958

Le Monde
« Film terrible, mis en scène avec une précision d’horlogerie, qui pourtant pas une seconde ne hausse le ton, ne force la note. Des fantoches, oui, mais ni plus ni moins que vous et moi ».Louis Marcorelles, 28/03/1975

Le Nouvel Observateur
« Le réalisme de la reconstitution historique n’intéresse pas Kubrick. L’armée française n’intervient qu’à titre d’exemple. N’importe quelle autre armée aurait fait l’affaire. C’est l’armée en soi que Kubrick dénonce. C’est de la machine militaire qu’il entend démonter les rouages. Son film n’est pas antifrançais, il est antimilitariste. Il attaque l’énorme entreprise de déshumanisation que compose l’armée, dont la guerre, et par conséquent la mort, sont le métier ».Jean-Louis Bory, 29/03/1975

Le Point
« Le sujet des Sentiers de la gloire explique le long purgatoire auquel il fut condamné. Cette évocation violente des fusillés pour l’exemple pendant la guerre de 14 est à la fois pamphlet et tragédie ».[S.N.], 24/03/1975

Télérama
« Kubrick fait preuve d’une grande maîtrise et d’une grande rigueur : son étude de la destruction de l’individu, un thème qui lui est cher, est soutenue par une construction sans failles et une écriture cinématographique parfaitement contrôlée. C’est un film froid, lucide, austère, malgré le lyrisme de certaines scènes ».
Jean-Luc Douin, 29/03/1975

 

Le travail sur le film

cinemasentiers1ere.doc


16/11/2014
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Good bye Lenin (octobre 2014)

 

Good Bye Lenin !

Un film allemand de Wolfgang Becker (2002). 1 h 53 min

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Synopsis

Alex, 21 ans, jeune   Berlinois de l’Est, apprend la chute du Mur, alors que sa mère est dans le coma à la suite d’un   infarctus qui l’a terrassée alors qu’elle traversait la ville en plein bouleversement sans   en connaître la raison.

Sa mère a toujours   été quelqu’un d’actif, participant avec enthousiasme à l’animation d’une   chorale.

Les mois passent et   le coma ne cède pas ; la ville se transforme, les voitures occidentales sillonnent   les rues, les publicités envahissent les murs ; au bout de huit mois, elle   ouvre les yeux dans une ville qu’elle ne peut plus reconnaître ; Alex veut   absolument lui éviter un choc brutal que son   cœur affaibli ne pourrait supporter... et profitant de son alitement, avec   l’aide de sa famille et de ses amis, il reconstruit autour d’elle son univers   familier, convoque les jeunes chanteurs de la chorale qui ne chantent plus du   tout les mêmes chansons, sollicite l’aide d’un ancien   cosmonaute, héros du peuple, reconverti en chauffeur de taxi et s’efforce de   faire revivre la RDA dans les 79 m2 de l’appartement, remis aux normes   socialistes…

Pour Alex, tout ira   bien tant qu’elle ne bougera pas de sa chambre…

 « Il y a beaucoup de raisons de courir voir l'excellente comédie de Wolfgang Becker : l'originalité de son sujet (le traumatisme des Allemands de l'Est à l'effondrement de l'Empire soviétique), la qualité de son écriture (un scénario inventif et rythmé signé Bernd Lichtenberg et Wolfgang Becker), sa tonalité doucement satirique, où l'ironie est tamisée par la gravité et la tendresse » Le Figaroscope

« Un petit bijou. Le genre de films qui vous prend par surprise. (...) On en sort au bord des larmes, émerveillé par tant de subtilité ».Le Parisien

 « Une comédie intelligente, une fable futée, jamais manichéenne » Télérama

Ciné-club  n°3

Mercredi  8 octobre à 14 h en salle de permanence

Public: classes de   Première et de Terminale

Programme de Première : La guerre froide, conflit idéologique, conflit de puissances :   un lieu (Berlin 1945-1989)……

Programme de Terminale : Socialisme, communisme et   syndicalisme en Allemagne depuis 1875.

 

 La travail sur le film

cinemagoodbylenin.doc

 


16/11/2014
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